George Sand fut l’une des premières femmes écrivains à vivre de sa plume. C’est son troisième roman « Lélia » paru en 1833 qui allait lui apporter le succès. Petit extrait pour débuter la semaine en douceur avec l’odeur des violettes :
« Moi, poète des bois et des vallées, j’écoutais le murmure mystérieux des eaux, je regardais les ondulations mœlleuses des pins faiblement agités, je respirais le suave parfum des violettes sauvages qui, au premier jour tiède qui se présente, au premier rayon de soleil pâle qui les convie, ouvrent leurs calices d’azur sous la mousse desséchée. »
Georges Sand, Lelia, 1833
Justement aujourd’hui je porte « Attrape-Cœur » de Guerlain, dans lequel joue une violette très nostalgique et changeante qui aurait sûrement plu à G. Sand.
Et vous, que portez-vous ?
Les commentaires récents